Zina Hope
Bio
De son vrai nom Espérance Nsatou, Zina Hope est une artiste compositrice et interprète du Congo.
Alors qu’elle n’avait jamais chanté, pas même à l’église, elle fait en novembre 2017, la rencontre de Philippe Edouard, auteur-compositeur Français installé dans la ville Océane qui devient alors son manager et lui propose de chanter pour le « fun ».
Dès les débuts de sa carrière artistique, elle se fait remarquer sur les réseaux sociaux en mars 2018 avec un son titre « Chez moi j’ai des bananes », sorte de cliché instantané de la vie quotidienne des parcelles de Pointe Noire. Le clip, réalisé par la société de Productions Audiovisuelles Zero Killed, atteint 10 000 vues en une seule semaine sur la page Facebook de Zina Hope. S’en suit articles de presse, passages TV et radio…
Zina Hope délaisse alors son emploi d’hôtesse commerciale dans un restaurant Italien du centre ville à la faveur d’un contrat d’image de 12 mois signé avec la société Digital Network Africa [DNA] qui lui permet de vivre de la musique.
Elle devient l’égérie de TNT AFRICA et anime mensuellement et pendant une année, l’émission de musique et divertissement « Villa Tchimbamba » sur Canal2/TNT Africa.
Elle y reçoit de nombreux invités de marque tels Jean Luc Delvert, Consul Général de France, et de nombreux artistes invités (Spirita Nanda, Mixton, Nestelia Forest) qui jouent en « live » dans son émission.
En 2018, Zina Hope décroche son baccalauréat A4. Elle obtient également sa carte professionnelle d’artiste auprès de la Direction Départementale des Arts de Pointe Noire. Cette même année, Zina se forme à l’Institut Français de Pointe Noire à la réalisation de films documentaires. Elle fait son premier film en format court « Ba marchés Ya Béto ». Elle est par ailleurs nommée ambassadrice « Life Style » de Congo 30, une plateforme récompensant les jeunes talents émergents qui promeuvent une image positive de la République du Congo.
Par ailleurs et toujours en 2018 toujours, elle sort d’autres titres comme « Au Large de la Côte Sauvage » chanson évoquant la légende des sirènes, « Mama Rita » dénonçant les violences conjugales ou encore adapte en français et lingala le titre culte de Bob Marley « Redemption Song ».
Zina Hope brise les codes de la chanson Congolaise en se démarquant des musiques de masses (rap, R&B, ndombolo, coupé-décalé). Ses chansons sont teintées de « french touch » et sont enregistrées avec de véritables instruments, offrant des sonorités nouvelles.