Femi Koya
Bio
Femi Koya artiste afrobeat dynamique et saxophoniste polyvalent. Son style musical est un mélange de musique high-life, afrobeats roots, jazz ouest-africain, avec des sons qui rappellent la musique sud-africaine de l’époque de gloire de Sofiatown.
Son parcours , une histoire de migration de l'Ouest vers le Sud, résonne dans sa musique et, crée un dialogue conscient entre les sons ouest-africains et sud-africains. Cette fusion musicale ouvre la voie vers une Afrique nouvelle et culturellement intégrée dans laquelle un patrimoine commun est renforcé pour répondre aux besoins du monde d'aujourd'hui. Sa quête est celle de l'unité africaine à un moment où il estime que l'Afrique doit revendiquer la place qui lui revient de droit dans le monde.
Le premier album de Femi Koya Just in Newtown témoigne de la richesse mélodique qui résulte de cette fusion. Par sa polyvalence au saxophone, il insuffle une nouvelle vie à la musique world africaine. Iba qui signifie hommage, est le titre de son deuxième album, sorti en août 2015. Cet album parle également d'unité africaine et plaide pour le respect des droits de l'homme. Mais l'album célèbre aussi la joie de vivre africaine avec des titres dansants contagieux. Son dernier album Village Afrobeat est sorti en avril 2018.Les chansons parlent de nature, fertilité, des rituels et changements de saisons ainsi que des traditions et personnages essentiels à la vie de village.
Ses influences musicales comprennent Fela Kuti, Bob Marley, Manu Dibango, Hugh Masekela, Baaba Maal et John Coltrane entre autres. Il a partagé la scène et s’est produit avec des artistes de renom tels Youssou N'dour, Yvonne Chaka Chaka Chaka, John Legend (lors de sa première tournée sud-africaine) et le roi de la musique juju, Sunny Ade.
Femi a également pris part à des festivals internationaux aux cotés de Wynton Marsalis, Oliver Mtukudzi, Habib Koite, Salif Keita et Baaba Maal. Il a enregistré avec Simphiwe Dana, Pops Mohamed, Yvonne Chaka Chaka Chaka, et a travaillé avec Baaba Maal, Angelique Kidjo, Wizkid pour n'en citer que quelques-uns.