Spirita dévoile le premier single de son prochain EP
La chanteuse originaire de Congo-Brazzaville dévoile le single « Do Me », un premier extrait de son prochain EP baptisé Fuzion.
Spirita a fait parler d’elle en 2016 grâce au morceau « Kitoko » qui est un hommage à la beauté africaine et qui mettait en avant le mouvement Nappy (mouvement qui célèbre le retour aux cheveux naturels).
« Do Me », premier extrait du son prochain CD, est une chanson aux allures d’afro pop, interprétée avec le rappeur congolais Biz Ice.
La chanteuse n’est pas à sa première collaboration avec des artistes hip-hop. En 2016, elle s'était associée à son compatriote, Flexible, sur un titre intitulé « Motema ».
Spirita interprète ses chansons en lingala, français et en anglais. Ses textes évoquent entre autres l’amour, la paix et les valeurs humaines.
« J’adore chanter, ça me libère et me permet d’exprimer mes émotions. Chanter c’est vraiment une passion ! », déclare la chanteuse
« Mon but est de créer une identité, de m’imposer en Afrique et sur la scène internationale », ambitionne Spirita.
Étoile montante de la musique congolaise, la chanteuse est née à Brazzaville, mais a également vécu au Cameroun où elle a étudié à l’université de Buea. Elle fait ses débuts en musique en participant aux spectacles et concours organisés à l’université.
Le public brazzavillois la découvre sur scène en juin 2013, lorsqu'elle accompagne un chanteur nommé Duce, pour la première partie du spectacle du rappeur franco-congolais Youssoupha.
Le 24 mai 2014, elle participe à un concert à l’Institut français du Congo organisé par sa sœur pour promouvoir les jeunes talents. En 2015, elle enchaîne les singles, notamment « Fantastik » et « Dreams » .
En décembre 2016, grâce à son single « Quitte là-bas (mutu makassi) », elle remporte le titre de « Révélation féminine » au Beat Street Awards, le festival le plus important de musique urbaine au Congo-Brazzaville.
La même période, elle sort officiellement son tube « Kitoko ». Peu avant, Spirita avait bénéficié d’une belle couverture médiatique sur la chaîne panafricaine Africanews qui l’avait interviewée.
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